|

L’entrée dans le labyrinthe

Merveilleuse année Graine jaune résonnante !

En ce jour Aigle bleu harmonique guidé par la Nuit bleue, je prends ma plume pour vous transmettre la vision à renforcer en cette nouvelle année : prendre les commandes sur notre mental afin d’élever la conscience en nous et autour de nous. J’en profite pour vous  souhaiter une merveilleuse année et vous annoncer la suite de notre histoire en 365 jours.

Cette année, Graine jaune résonnante, l’apprenti chaman que nous sommes entre dans le labyrinthe à la recherche de la graine divine qui sommeille en lui. Pour accéder à ce trésor, nous devrons privilégier les moments de silence et de connexion à la Nature, à la Terre-Mère qui nous informe et nous permet d’entrer dans de nouveaux niveaux de conscience.

Les codes de cette année nous demande d’entrer en résonance, de nous syntoniser, c’est-à-dire nous mettre au diapason, trouver le juste accord entre ce que nous souhaitons voir se réaliser dans nos vies et les informations que la vie nous présente.

Il s’agit de se laisser inspirer par ce qui se produit en nous et autour de nous. Bien sûr, se laisser inspirer c’est être en mesure de laisser entrer l’information. Et si nous n’accordons ni place ni espace à notre être, il ne peut faire entrer de nouvelles informations sous peine d’imploser…

Se mettre en résonance, mais avec quoi ? Qu’est-ce que cela implique ? Cette année nous nous mettons en résonance avec les codes portés par la Graine jaune résonnante, à savoir « Viser l’épanouissement de la conscience »

Et selon la nature de la graine que nous portons, nous aurons à la nourrir de manière différente, car toutes les graines ne nécessitent pas les mêmes apports. Ainsi, il sera important de ne pas comparer leurs croissances ni leurs fruits ou fleurs. Souvenons-nous que le chemin du réveil diffère pour chacun et qu’il importe surtout d’intégrer les messages qui jalonnent notre parcours, pour évoluer.

Qu’elle que soit la nature de notre graine, reconnaissons que certaines de ces graines peuvent être plus fragiles, car délaissées, ignorées ou maltraitées. Elles nécessitent alors plus d’attention, plus de soin. Et telle une mère divine, apportons lui réconfort, soin et bienveillance afin qu’elle lâche les regrets et traumatismes qui l’empêchent de faire confiance au potentiel qu’elle porte. 

Pour commencer ce voyage dans le labyrinthe de l’initiation à la découverte de notre graine divine, en cette première lune de l’année, j’observe ce que j’attire, je me confronte aux miroirs présentés face à moi. Je pense à me réjouir et rire face aux situations, rencontres et informations qui me sont présentées. Enfin, je vise la conscience afin qu’elle s’épanouisse en moi et par extension, autour de moi. C’est le chemin qui se déploie dans ce premier chapitre de l’histoire en 365 jours de la Graine jaune résonnante.

Bienvenue dans ce nouvel opus qui je l’espère, vous inspirera.
In lak’ech – Véronique Aigle bleu planétaire

Miroir, mon beau miroir...

Tels les couloirs de miroirs des fêtes foraines, nous entrons dans le labyrinthe où attend patiemment la graine que nous sommes venus planter. Nous apercevons des reflets inconnus à notre regard pressé qui nous révèlent des facettes que nous préférons souvent ignorer. Pourtant, il est nécessaire de les regarder, d’en dresser tous les contours, de percevoir tous les côtés afin de faire véritablement connaissance avec notre être multidimensionnel, porteur de la conscience divine.

Entrer dans le labyrinthe exige attention et persévérance. Pour ouvrir nos canaux de perception, nous avons recours à la respiration, lente et profonde. A l’expire, nous évacuons stress et angoisses et revenons au calme dans notre corps comme dans notre esprit. Nous concentrons notre mental qui préfère les distractions nombreuses de ce monde, sur notre souffle. Nous observons et sentons l’air entrer et sortir de nos narines. Un exercice simple et efficace pour revenir à soi, car sans ce retour, aucun espoir d’atteindre cette graine divine qui repose et attend dans l’obscurité. 

La concentration sur le souffle apporte calme et sérénité et dompte notre mental. C’est une donnée à prendre particulièrement en compte dans ce cheminement vers l’épanouissement de notre graine divine. Comment choisir les états de conscience que nous voulons nourrir, si nous ne prêtons pas attention à la nourriture que nous offrons à notre mental, au flux de nos pensées ? Si nous laissons nos pensées s’emparer de nos vies, sans contrôle ni recul ?

Le flux de nos pensées nettoyés par le souffle, nous offre de nouvelles perspectives et aligne véritablement notre être à sa graine divine. C’est ainsi que nous pouvons aborder des questions relatives à notre parcours dans le labyrinthe. Car en entrant dans le labyrinthe, plusieurs chemins se présentent. Celui qui apparaît être le plus facile, l’est-il vraiment ? Puis-je atteindre mon but si je n’ai pas le courage et la force de le poursuivre ? Qu’est-ce que j’attire ? Suis-je suffisamment centré pour prendre des décisions éclairées ? Suis-je capable de me regarder en face et de déceler des attitudes et comportements qui génèrent des situations que je réprouve ? Suis-je en mesure d’accepter d’être à ce point précis de ma vie ?

Je me libère de mes exigences et attentes élevées qui créent frustrations et insatisfaction. Je me détache de vouloir tout comprendre, tout gérer et contrôler. Je laisse la place à l’imprévu, l’inconnu qui me pousse à élargir ma zone de confort où si je suis attentif, j’apprends. 

Je canalise mes besoins, me laisse inspirer pour ressentir ce dont j’ai vraiment besoin dans mon corps, dans ma tête, loin des influences et distractions, dans le silence et l’immobilité. J’interroge mon être qui se réjouit de l’attention que je lui accorde et me pousse à relier les mondes par le pardon. Je me mets en résonance avec la force du pardon et respire profondément pour l’intégrer.

Je réfléchis et observe comment mon regard se brouille par les attentes. Je me libère de ces attentes ou des rôles que j’ai pris ou que l’on m’a assignés. J’opère la mue pour transformer et retrouver la liberté d’être qui j’ai envie d’être à chaque instant.

Je guéris en reconnaissant les rôles que j’ai joués. Je reconnais mes responsabilités sans culpabilité. Elle m’empêche d’y voir clair, de retenir la leçon, de voir plus loin. La culpabilité m’accroche à un passé, nourrit mes émotions inférieures et diffuse son poison…

Je laisse couler et abandonne la lutte. Je choisis la compassion, la bienveillance et l’amour en reconnaissant en chaque être qui me blesse ou m’a blessé, un être blessé qui a surtout besoin d’amour et de lumière.  C’est le cœur et l’esprit ouvert que je débute cette année, cette entrée dans le labyrinthe de l’initiation où mes apprentissages seront à la hauteur des défis relevés. 

Le maître du jeu : l'enfant intérieur

En entrant dans le labyrinthe, même si je sais qu’il me faudra cultiver patience, persévérance et attention, je n’oublie pas que c’est un jeu. Je me souviens de l’implication soutenue mais enjouée des enfants lorsqu’ils jouent ensemble.

Certes, chacun veut gagner ou progresser, mais l’objectif principal est ailleurs. Dans l’invisible, se trament le bonheur de participer, la douceur du moment partagé, la capacité à apprendre et à aiguiser son regard pour emmagasiner de nouvelles techniques. Et celui qui enrage et peste de ne pas avoir de chance, continue d’écumer les échecs, de se cogner aux murs de son impatience et de sa volonté de contrôle. 

Tel le maître du jeu, notre enfant intérieur nous invite à pénétrer dans ce labyrinthe avec joie et enthousiasme, à laisser derrière nous tous les bagages inutiles…

Tous les jours j’ai le choix. J’ai le choix de la route que je prends, des énergies que je diffuse, de l’humeur que je porte. Je fais l’expérience de traiter différemment les pièges tendus à mon ego. Je respire, je me libère de ces accroches, de ces phrases ou pensées assassines qui polluent mon environnement mental et émotionnel. C’est comme si l’autre me tendait un appât auquel je mords, je mords à l’hameçon et c’est moi qui suis au final blessé. Alors que faire de cette blessure ? Dois-je l’ignorer ou l’enfouir ? Non, je regarde plutôt ce qu’elle me révèle.

Et si le fait de m’entraîner à porter mon attention sur ma respiration, me permettait non seulement de revenir à moi, en mon centre, mais en plus de changer cette pratique, en réflexe, en seconde nature ? Que se produirait-il alors, lorsqu’une situation ou personne qui me bouscule entrerait en contact avec moi ?

La réponse à une offense ne se calcule pas. Notre amour propre blessé a souvent tendance à réagir, et finalement envenimé une situation. D’où l’intérêt de recourir régulièrement à des exercices de recentrage par la respiration. Ainsi, lorsqu’un piège nous est tendu ou plutôt, une expérience nous est présentée, nous aurons plus de facilité à choisir de respirer avant de répondre, et nous détacher de cet instant empreint de blessures. En nous exerçant plusieurs fois par jour à nous concentrer sur la respiration, nous rendons cette pratique presque automatique, nous en faisons un réflexe. 

Je peux facilement imaginer que ce réflexe de prendre le temps de respirer profondément s’immiscerait dans les situations auxquelles je suis confronté. Alors, retrouvant mon centre, je n’éprouverai plus le besoin de réagir et trouverai facilement les mots et attitudes à adopter pour désamorcer toute attaque tout en conservant mon intégrité et mon positionnement.

Là, je déblaierai tel un explorateur le chemin à emprunter pour d’autres, une autre solution à privilégier. Je nourrirai alors la conscience en réglant d’abord mes conflits intérieurs.  Car comme le dit Hermès Trismégiste,  » Tout ce qui est en haut est en bas », mais on pourrai aussi rajouter que ce qui est à l’intérieur est à l’extérieur. Tous nos conflits intérieurs non résolus trouvent une expression à l’extérieur de nous et font surface pour nous exhorter à les régler. Et si au lieu d’accuser et de pointer du doigt nos différences, nous faisions le pari de nos ressemblances, de ce qui nous rapproche et nous unit ?  Quelles barrières et illusions tomberaient ?

Aiguise ton attention, respire pour retrouver ton centre et élargis ton regard. Mets-toi en résonance avec ton imagination, visualise ton chemin, acceptes les embûches et les détours. Ils sont posés sur ton chemin pour t’apprendre. Sens la vie circuler en toi dans ton corps, chaque fois que tu relèves un défi, que tu optes pour une nouvelle réponse.

Au cours de cet apprentissage, tu exploreras de nouvelles solutions et certainement au bout de quelques temps, ces situations ne se présentent plus à toi, puisqu’elles n’auront plus de prise.

En chemin, aborde ces questions qui te permettront d’entendre plus facilement les réponses envoyées : Suis-je capable d’entendre et de recevoir ou ma coupe est-elle déjà pleine ? Quelle vision de moi-même, de mon entourage méritent d’être transformées pour vivre mes rêves et transformer ma réalité ? Quels filtres m’empêchent d’accéder ou de voir les cadeaux que m’offre la vie, l’univers ?

Je m’observe, je regarde comment chaque situation répond à une émotion. Car chaque fois que je choisis de nourrir la bienveillance envers moi et les autres, j’ouvre une brèche dans le chemin épineux qui mène à l’illumination. « Et l’illumination de l’un est l’illumination de tous » comme nous le rappelle l’archétype du Soleil jaune, l’Illuminé dont nous sommes au cœur de la saison galactique. 

Cette réalité est un jeu et personne n’a dit qu’il était facile… Exprimons notre gratitude par des gestes et des pensées et nourrissons la noosphère de bienveillance.

Féminin sacré et graine divine

Nous vivons dans un monde d’illusions qui emploie toutes les ruses pour nous divertir et nous détourner de notre chemin, de notre véritable essence. Chaque information diffusée ou « révélée » cache une information invisible. Et nous devons nous exercer à voir au-delà du miroir, au-delà de ce qui nous est montré. Pourquoi faire tant de bruits, si ce n’est pour cacher des manigances et autres tours de passe passe.

L’ordre des voleurs est habile dans la tromperie. Il cherche à nous sidérer avec des nouvelles de plus en plus incroyables, déstabilisantes. Il attire notre attention, divise pour mieux régner. Ils ont détourné le temps, supprimé et perverti le nombre sacré 13, symbole du féminin, de la rotation de la lune autour de la Terre en une année solaire.  

Dans cette guerre de fréquences, il cherche à nous maintenir à des fréquences basses, là où ils peuvent aisément nous manipuler par la peur et la colère… Toutes leurs machines fonctionnent et diffusent des ondes à basse fréquence. Elles ne peuvent nous atteindre que si nous répondons à ces fréquences basses.

Crois-tu qu’en utilisant les mêmes armes que ton adversaire aguerri, tu peux remporter la victoire ?  Penses-tu que leur plan n’est pas rôdé et n’a pas envisagé toutes tes révoltes et rebellions ? Penses-tu qu’ils hésiteraient un instant, si une révolte se levait, à foncer sur la foule, à la réprimer et s’autoproclamer ?

La solution est en nous. Comme disait Einstein, « Nous ne pouvons pas résoudre nos problèmes avec la même pensée que nous avons utilisée lorsque nous les avons créés. » Nous avons d’immenses pouvoirs que nous n’utilisons pas soit par paresse, distractions, occupations futiles…

Sais-tu que tes pensées sont des ondes qui vibrent à certaines fréquences selon comment tu les nourris ? As-tu intégré que le temps tel que nous le mesurons dans nos sociétés ne respecte pas notre biorythme, nos vies, notre relation avec le vivant ?

Cette année est l’année du réveil du féminin sacré. Longtemps réprimé ou usurpé, sa force réside dans l’intuition et l’imagination ; deux qualités qui s’épanouissent dans le silence et la contemplation. Cette énergie divine se développe dans la réceptivité et la présence.

Comment alors ne pas prendre le temps d’une pause pour nous délester de poids inutiles, d’informations savamment orchestrées ? Il est temps de prendre soin de notre graine divine, de revoir les filtres de nos perceptions à la lumière de l’invisible qui apparaît lorsque nous décidons d’accorder notre attention sur de nouvelles réflexions. Nous opérons la mue pour laisser mûrir en nous le pouvoir du féminin sacré, de la compassion et de la bienveillance.

La Reine rouge décrit le pouvoir du féminin sacré en ces termes : « A un niveau supérieur, le féminin sacré est l’intelligence de l’Incréé – le non inscrit, cet espace où toute chose est encore possible. »  Tout est effectivement possible et l’issue est plus que jamais entre nos mains. Elle exige discipline et détermination. Et le masculin sacré que nous avons activé l’an passé peut nous aider à ancrer cette détermination courageuse qui peut nous éloigner de l’illusion et de la dissonance cognitive.

Nous pouvons retrouver nos pouvoirs et savourer la beauté de la vie, en accueillant les émotions comme un carburant de notre métamorphose. Et finalement, le but que nous pourrions poser collectivement en ce début d’année pourrait être tout simplement de revenir à la vie, loin des écrans et distractions pour accueillir les nouvelles informations diffusées depuis Hunab Ku pour notre évolution. Elles voyagent depuis le cœur de la galaxie pour atteindre la Terre et toucher le cœur des êtres humains. La question est : avons-nous la place pour accueillir ces nouvelles informations ? Sommes-nous prêts à ouvrir nos cœurs et modifier nos façons d’agir ?

C’est sur ces quelques réflexions que je conclue ce premier chapitre du labyrinthe. Je vous souhaite de doux moments de silence, connectée à la Terre et ses mémoires.

A suivre….

In lak’ech – Véronique Aigle bleu planétaire

Si vous avez envie et pouvez soutenir mon travail, je vous en remercie chaleureusement. 

Toute participation même modeste , est comme une goutte d’eau dans mon océan et m’aide à me consacrer pleinement à la diffusion de documents et l’écriture de ces chapitres.

Merci 🙏✨🌈

A lire également

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.